Chaque jour, Don Alfredo Di Stefano passait devant la sculpture représentant une balle à l'entrée de sa villa. Il y avait fait graver : «Gracias vieja». Merci ma vieille, Reconnaissance éternelle d'un dieu du football à l'indispensable objet de son rayonnement. «Je n'oublierai jamais Alfredo, confie Michel Platini, et moi aussi je dis à mon ballon : merci mon vieux !». Le ballon, le jeu, les deux premières marches sacrées de la grande échelle ...
«Platoche» ou la saga d'un petit Lorrain
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